(Image Rudy Spiessert/Libération) Une maîtresse maléfique accompagne ses élèves en voyage scolaire. Au lieu de les amener en Espagne, elle les traîne en enfer pour offrir leurs âmes innocentes à Lucifer et s’assurer ainsi un statut de VIP auprès du Prince des Ténèbres. Elle échoue grâce à un enfant muet, timide et discret, qui s’avère posséder des pouvoirs extrasensoriels et suffisamment de courage pour sauver ses camarades et les ramener dans les bras de leurs parents. N’ayant plus d’âmes à offrir pour payer son séjour dans l’au-delà, notre maîtresse est condamnée par le diable à se faire cuire dans des chaudrons bouillants touillés par des démons, et ce jusqu’à la fin des temps. Ce pourrait être le résumé d’un cauchemar de Stephen King ou les prémisses d’une histoire d’horreur pour un recueil de nouvelles fantastiques. Il s’agit en réalité de l’histoire imaginée par les CM2 de Mme Arnaud, de l’école élémentaire Antide-Boyer, une classe de 24 élèves âgés de 10 ans à 11 ans, qui, en
My initial dream was so 80s. I wanted to be the class clown for a while, dress weird - mainly in black -, paint my eyes and nails, and then, go out there into the world and meet a monster that would have loved me and that I would have loved back. We would have exchanged blood, snakes, scratches and bites. She would have called me her favorite abomination. I would have called her my worst nightmare and I would have totally French kissed her under a full moon. We would have got married in a crypt somewhere in Paris on an Halloween Night surrounded by horrendous goons - and then, we would have walked the streets to find an abandoned Manor where we would have lived together until flesh rotted off our bones. Oh. And also, we would have procreated. We would have bred a flock of abnormalities that we would have named and loved no matter how many legs they had. I wanted at least two girls and a Cyclops. We would have been this super sexy dark couple totally into each
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